Mathinées lacaniennes : samedi 31 janvier 2009
Mathinées lacaniennes 2008-2009
Groupe d’étude animé par Henri Cesbron Lavau et Virginia Hasenbalg
à l'ALI, 25 rue de Lille, 75007
Le vendredi 30 janvier à 19 H
Dans le cadre du groupe logique et psychanalyse
animé par Jean Brini, Pierre-Cristophe Cathelineau, Virginia Hasenbalg, Silvia Salama et Ana Sosa
Logique modale et logique formelle
Exposé avec Pierre-Christophe Cathelineau
Psychanalyste, agrégé de philosophie, auteur de Lacan lecteur d'Aristote
Le samedi 31 janvier de 10 h à 12 h
Dans le cadre du groupe préparation du seminaire d'été
animé par Jorge Cacho et Virginia Hasenbalg
Questions sur la modalité dans le séminaire Encore
Exposé de Christiane Lacôte-Destribats
Psychanalyste, ancienne élève de l'ENS, agrégée de philosophie, membre fondateur de l'Ali,
auteur de L'inconscient, Editions Flammarion
Suite du programme des conférences 2008-2009
7 février : Marc Darmon :
Un nœud à l’endroit, un nœud à l’envers
28 mars : Bernard Vandermersch :
Topologie du refoulement
16 mai : Marc Darmon : préparation du séminaire d'été
20 juin : Henri Cesbron Lavau :
Du repaire aux repères
Nous interrogerons ce qui
d'une articulation topologique particulière
peut faire enseignement pour d'autres.
Groupe d’étude animé par Henri Cesbron Lavau et Virginia Hasenbalg
à l'ALI, 25 rue de Lille, 75007
Le vendredi 30 janvier à 19 H
Dans le cadre du groupe logique et psychanalyse
animé par Jean Brini, Pierre-Cristophe Cathelineau, Virginia Hasenbalg, Silvia Salama et Ana Sosa
Logique modale et logique formelle
Exposé avec Pierre-Christophe Cathelineau
Psychanalyste, agrégé de philosophie, auteur de Lacan lecteur d'Aristote
L'invention lacanienne procède d'un renversement de perspective de la logique aristotélicienne tout en s'appuyant sur ces inventions fondatrices. Il réarticule le champ de la logique pour en montrer les assises cliniques. C'est ce lien entre la logique et la clinique que je développerai.
Le samedi 31 janvier de 10 h à 12 h
Dans le cadre du groupe préparation du seminaire d'été
animé par Jorge Cacho et Virginia Hasenbalg
Questions sur la modalité dans le séminaire Encore
Exposé de Christiane Lacôte-Destribats
Psychanalyste, ancienne élève de l'ENS, agrégée de philosophie, membre fondateur de l'Ali,
auteur de L'inconscient, Editions Flammarion
Les difficultés de la clinique contemporaine peuvent sans doute, sinon se résoudre, du moins se situer par la radicalité proposée par la théorie lacanienne.
Que ce qui était auparavant fixé et combiné comme possible, impossible, nécessaire, contingent soit joué par Lacan dans les jeux de mots où s’anticipe une relation entre le temps et l’écriture (ne cesse pas de s’écrire, ne cesse pas de ne pas s’écrire …etc ) semble important. Ces jeux de mots opèrent entre le tableau de le sexuation et le début de la problématique borroméenne de Lacan. Quelle est donc leur fonction ?
Que disent-ils sur la jouissance, sur l’objet, sur l’inscription d’un désir ?
Ne peut-on penser par exemple que beaucoup des questions d’aujourd’hui trouvent leur juste lieu dans ce que Lacan explore sur la contingence ? Surtout au moment où se déclare partout la publicité de l’être, du genre, et des obligations à tout.
Il dit ainsi le 20 mars 1973 : « C’est comme contingence, contingence en quoi se résume tout ce qu’il en est de ce qui pour nous soumet le rapport sexuel à n’être, pour l’être parlent, que le régime de la rencontre, c’est en ce sens qu’on peut dire que par la psychanalyse, la phallus, le phallus réservé comme aux temps antiques aux Mystères, a cessé de ne pas s’écrire. Rien de plus. Il n’est pas entré dans le ne cesse pas, dans le champ d’où dépendent la nécessité d’une part et, plus haut, l’impossibilité.»
Ces reformulations de la modalité sont rigoureusement cliniques. Nous essaierons de le montrer.
Que ce qui était auparavant fixé et combiné comme possible, impossible, nécessaire, contingent soit joué par Lacan dans les jeux de mots où s’anticipe une relation entre le temps et l’écriture (ne cesse pas de s’écrire, ne cesse pas de ne pas s’écrire …etc ) semble important. Ces jeux de mots opèrent entre le tableau de le sexuation et le début de la problématique borroméenne de Lacan. Quelle est donc leur fonction ?
Que disent-ils sur la jouissance, sur l’objet, sur l’inscription d’un désir ?
Ne peut-on penser par exemple que beaucoup des questions d’aujourd’hui trouvent leur juste lieu dans ce que Lacan explore sur la contingence ? Surtout au moment où se déclare partout la publicité de l’être, du genre, et des obligations à tout.
Il dit ainsi le 20 mars 1973 : « C’est comme contingence, contingence en quoi se résume tout ce qu’il en est de ce qui pour nous soumet le rapport sexuel à n’être, pour l’être parlent, que le régime de la rencontre, c’est en ce sens qu’on peut dire que par la psychanalyse, la phallus, le phallus réservé comme aux temps antiques aux Mystères, a cessé de ne pas s’écrire. Rien de plus. Il n’est pas entré dans le ne cesse pas, dans le champ d’où dépendent la nécessité d’une part et, plus haut, l’impossibilité.»
Ces reformulations de la modalité sont rigoureusement cliniques. Nous essaierons de le montrer.
Suite du programme des conférences 2008-2009
7 février : Marc Darmon :
Un nœud à l’endroit, un nœud à l’envers
28 mars : Bernard Vandermersch :
Topologie du refoulement
16 mai : Marc Darmon : préparation du séminaire d'été
20 juin : Henri Cesbron Lavau :
Du repaire aux repères
Nous interrogerons ce qui
d'une articulation topologique particulière
peut faire enseignement pour d'autres.
